Selonla latitude géographique et l‘origine ethnique des populations, l’incidence pour le mélanome est très variable (les données sont exprimées en nombre de cas pour 100 000
- Publié le 27 Fév 2015 à 1114 Internet est en guerre. La cause ? La couleur d’une robe. Blanche et or pour certains, la robe est noire et bleue pour d’autres. revient pour vous sur le questionnement qui agite la toile depuis cette nuit. Lorsqu’on achète des trucs pourris parce que ce sont les soldes, on ne pense pas déclencher l’implosion d’internet, mais de temps en temps c’est quelque chose qui arrive. Notre histoire débute avec un post anodin sur Tumblr, où une jeune femme demande l’avis de ses amis concernant la véritable couleur d’une robe. Et là , c’est la division totale. Les points de vue divergent sensiblement. Certains la voient bleue alors que d’autres la voient blanche. Il n’en fallait pas plus pour qu’internet s’empare de ce captivant débat. C’est le site Buzzfeed qui a été l’un des premiers a relayer ce que l’on surnomme déjà le Dressgate ». Dans un sondage publié sur son site, le site d’info-divertissement américain demande aux internautes de quelle couleur est la robe Les trois-quarts des votants 1,1 million d’internautes tout de même la voient or et blanc mais un quart persiste à la voir bleu et noir ! Cette affaire permet même au site d’enregistrer le plus fort pics de fréquentation de son histoire. Les réseaux sociaux sont entrés en ébullition, les hashtags TheDress » et whiteandgold » se plaçant en tête du classement des tendances mondiales sur Twitter. Les célébrités ont elles aussi choisi leur camp Taylor Swift, Kanye West ou encore James Franco la voient noire, alors que Kim Kardashian, Nina Dobrev et Anna Kendrick la voient blanche ! La pipette du logiciel Photoshop a elle opté pour la véritable couleur de la robe bleue et noire. De multiples théories ont été avancées, la robe changerait de couleurs selon notre état d’esprit, la photo serait en fait un très lent GIF qui changerait de couleur …. Mais voilà l’explication la plus vraisemblable Cette photo a très certainement été prise avec un éclairage bleuté, donc de la même couleur que la robe. C’est pour cela que l’œil de certains la voit blanche. Nous avons tout simplement affaire à une illusion d’optique extraordinaire. La lumière est interprétée différemment par chacun, en fonction de la sensibilité aux couleurs de notre rétine et de notre cerveau. Ce qui est étrange selon les spécialistes en ophtalmologie, c’est l’impressionnante différence de perception entre les gens lorsqu’on leur demande de choisir entre les deux couleurs pour la robe. La folie planétaire du Dressgate » a obligé la marque commercialisant cette pièce à faire exploser sa production, certaines internautes se l’arrachant à tout prix. Elles n’ont sans doute pas lu nos quatre leçons sur les achats compulsifs. La marque envisagerait même de commercialiser un modèle en blanc et or afin de contenter l’autre camp ! A la rédaction de les avis sont également très partagés quant à la véritable couleur de cette mystérieuse robe.
Lesrécepteurs sensoriels et les stimulus. Les récepteurs sensoriels (oeil, oreille, peau, nez et langue) permettent au corps d’un individu d’être informé sur l’état de son environnement. Ils réagissent donc à ce que l’on nomme un stimulus, soit les changements qui se produisent dans l’environnement et qui sont perceptibles par
Imprimer E-mail Date de publication Écrit par MEROUR I., SCHWOB S., HERMESCH S., LARZUL C. Résumé de l'article Effet du génotype halothane sur les performances de croissance, qualités de carcasse et de viande Depuis le début des années 2000, l’utilisation du Piétrain en tant que verrat terminal dans les élevages de production ne cesse de progresser. Cet essor repose d’une part sur la réputation d’une plus grande résistance des issus Piétrain à la maladie d’amaigrissement du porcelet et d’autre part sur des considérations économiques d’autant plus importantes depuis le changement de grille de paiement des carcasses intervenu fin 2006. L’allèle de sensibilité à l’halothane n est en ségrégation dans la race Piétrain collectif français » – cela signifie que trois génotypes coexistent NN, Nn et nn. Quelles influences cet allèle a-t-il sur les performances ? La race Piétrain est apparue vers 1920 dans une petite commune de Belgique qui lui a donné son nom. Une majorité d’experts s’accorde à dire qu’une mutation est à l’origine de sa musculature exceptionnelle. Introduite en France vers 1950, cette race a connu un regain d’intérêt à partir de 1980 avec le développement de plans de croisement qui ont permis de tirer avantageusement parti de ses particularités mais c’est surtout depuis le début des années 2000 que son utilisation en tant que verrat terminal a connu une évolution croissante Figure 1. La découverte d’un test de biologie moléculaire en 1991 Fuji et al., 1991 a permis de distinguer trois génotypes les homozygotes résistants NN, les hétérozygotes résistants Nn et les homozygotes sensibles au stress nn. L’allèle de sensibilité à l’halothane est en ségrégation dans la population collective française Piétrain, ce qui signifie que les trois génotypes, dans des proportions non équilibrées, sont présents dans cette population. Les effets de l’allèle de sensibilité à l’halothane ont été étudiés depuis une trentaine d’années et il est bien établi que cet allèle a une influence sur les caractères de carcasse et de qualité de viande Aalhus et al., 1991 ; Guéblez et al., 1995 ; Hanset et al., 1995 et Larzil et al., 1997. Cependant, les résultats de ces études antérieures sont basés sur des performances d’animaux croisés et l’effet de l’allèle de sensibilité à l’halothane a pu être affecté par la sélection. Ainsi, l’objectif de cette étude est de comparer les performances zootechniques d’animaux de race pure des trois génotypes et d’estimer le rôle joué par l’allèle n sur les performances des animaux. Le rôle des stations publiques de contrôle de performances La mise en station de porcelets issus des élevages de sélection est un élément du dispositif d’évaluation national du potentiel génétique des animaux le contrôle des performances en élevage de sélection des candidats à la reproduction mâles et femelles tétines, croissance, épaisseur de lard et de muscle est complété par le contrôle d’un nombre plus restreint d’animaux sur des performances complémentaires consommation alimentaire, qualité de viande, poids des pièces de découpe,.... Les stations permettent ainsi de récolter sur un échantillon réduit d’animaux, dans un environnement commun, des mesures qui ne peuvent être réalisées en routine en élevages de sélection. Les stations en activité étaient au nombre de 13 en 1979, elles ne sont plus que deux depuis 2008 Le Rheu 35 et Mauron 56, soit une capacité de contrôle de 2 500 animaux par an. Les stations publiques porcines sont ouvertes à tous les opérateurs génétiques français. MATERIELS ET METHODES Origine des animaux Les données utilisées dans cette étude ont été collectées dans les trois stations publiques de contrôles de performances Argentré, Le Rheu et Mauron entre 2002 et 2008. Les animaux, uniquement des femelles Piétrain, ont été fournis par sept élevages de sélection adhérents aux organisations de sélection ADN 2 élevages, BPS 1 élevage, Gène ÷ 2 élevages et Nucléus 2 élevages. Les animaux d’un même élevage ont été contrôlés dans au moins deux stations. Le génotype halothane des animaux NN homozygote halothane négatif ; Nn hétérozygote halothane négatif ; nn homozygote halothane positil était soit déduit à partir du génotype des parents soit, si la déduction n’était pas possible, déterminé par un test ADN Fuji et al., 1991. Pour éviter la confusion entre l’élevage fournisseur et le génotype des animaux, seuls les élevages ayant entré des animaux d’au moins deux génotypes halothane différents ont été conservés dans le jeu de données. Au total, les performances de 1 557 femelles Piétrain 128 NN, 334 Nn et 1095 nn issues de 399 verrats pères ont été prises en compte dans cette étude Figure 2. Modalités de contrôle en station Les bandes de contrôles intra type génétique étaient constituées d’au moins 36 animaux nés sur une période de deux semaines et issus de trois élevages de sélection. L’allotement en cases d’engraissement était fonction de l’élevage fournisseur. Les animaux, engraissés dans des cases de 12 individus, étaient alimentés ad libitum entre 35 et 105 kg de poids de fin de contrôle jusqu’en 2005 et depuis 2006 entre 35 et 110 kg. Suite au changement de grille de paiement des porcs TMP en 2006, les animaux charcutiers sont abattus vers 110-115 kg de poids vifs. Aussi, pour avoir des données comparables à celles des producteurs, le protocole de contrôles en stations publiques a été cahier des charges commun aux trois stations spécifiait les caractéristiques de l’aliment distribué. Sur la période où les animaux étaient nourris à volonté, la consommation moyenne journalière CMJ, l’indice de consommation IC et le gain moyen quotidien GMQ étaient enregistrés. Le contrôle des performances à l’abattoir Les animaux étaient abattus soit à l’abattoir Cooperl-Industrie Montfort sur Meu — IIIe et Vilaine, soit à l’abattoir Socopa Evron — Mayenne. Les conditions de pré-abattage étaient identiques pour les deux sites, à savoir mise à jeun de 16 à 20 heures avant le départ des stations, temps de transport d’une trentaine de minutes et temps d’attente d’environ trois heures en bouverie. Les épaisseurs individuelles de gras et de muscle G2 et M2 qui sont les composantes du critère de classement TMP étaient récupérées auprès d’UNIPORC. Environ 20 heures après l’abattage, le poids froid et la longueur atlas-pubis de la carcasse étaient enregistrés puis les demi-carcasses droites étaient découpées selon la découpe hollandaise normalisée Métayer et Daumas, 1998. Cinq pièces principales étaient séparées Figure 3 et pesées la longe, le jambon, la poitrine, l’épaule et la bardière. À l’issue de la découpe, trois mesures de qualité de viande étaient réalisées sur le jambon • le pH ultime pHu du muscle Semimembranosus• l’indice de clarté L* du muscle Gluteus medius une valeur faible de L* est associée à une viande sombre• la note du temps d’imbibition qui vise à apprécier le pouvoir de rétention d’eau de la viande. Cette notation consiste à chronométrer le temps d’imbibition de 1 cm2 de papier ph apposé sur le Gluteus medius. Un point est attribué pour chaque dizaine de secondes écoulée. Analyses statistiques Les différences entre génotypes ont été estimées à l’aide d’un modèle mixte avec effet père programme ASRemI de Gilmour et al., 2006. Les modèles d’analyses utilisés prenaient en compte les effets fixés de la combinaison année x bande x station 61 niveaux et génotype 3 niveaux, la covariable poids de carcasse pour les cinq pièces de découpe. L’élevage fournisseur a été inclus dans le modèle en tant qu’effet aléatoire pour tous les caractères étudiés exceptés l’indice de consommation, le poids d’épaule et les trois mesures de qualité de viande. Les effectifs par date d’abattage étant faibles, cet effet a été pris en compte pour les trois mesures de qualité de viande comme effet aléatoire. Des rapports de vraisemblance ont été utilisés pour tester les différents effets aléatoires. RÉSULTATS ET DISCUSSION Caractères de production Les précédents résultats ont permis de comparer les trois génotypes pour 15 caractères mesurés en station publique de contrôle de performances. La figure 4 représente par critère l’effet de l’allèle halothane n. Les résultats sont exprimés en unité d’écart-type phénotypique de manière à pouvoir comparer les effets d’un critère à l’ raisonnant en valeur absolue, l’effet le plus important de l’allèle n est observé sur la capacité de rétention en eau de la viande, estimée à partir du temps d’imbibition -0,76 écart-type. Pour les critères de carcasse, l’amplitude de l’effet de l’allèle halothane varie de 0,35 à 0,62 écart-type ce qui est conforme aux effets rapportés par Larzul et al. 1997 pour le rendement de carcasse, la longueur et l’épaisseur de gras G2. L’allèle de sensibilité à l’halothane à un effet faible à nul sur les trois caractères de production GMQ, IC et CMJ. CONCLUSIONS ET PERSPECTIVES Les résultats de cette étude, basée sur un large jeu de données et sur des animaux de race pure, permettent d’actualiser les connaissances sur l’effet de l’allèle halothane. La majorité des précédentes études ont été réalisées il y a plus de dix ans sur des animaux croisés. L’allèle de sensibilité à l’halothane affecte significativement la plupart des caractères considérés dans cette étude. L’effet de l’allèle est le plus important pour la capacité de rétention en eau de la viande suivi des caractères de carcasse. Pour les critères d’efficacité alimentaire, composantes de carcasses et indice de clarté, les performances des animaux ou carcasses hétérozygotes sont plus proches des performances des animaux ou carcasses homozygotes NN. Il est important de noter que ces résultats ont été obtenus sur des animaux de race pure — à l’étage de la production, environ 75 % des porcs charcutiers sont hétérozygotes Nn. Actuellement, le génotype des animaux Piétrain collectif n’est pas pris en compte dans les évaluations génétiques. Les futurs reproducteurs sont sélectionnés d’une part selon leur génotype quand il est connu et d’autre part à l’aide d’un indice de sélection classique. Cette stratégie conduit vraisemblablement à des résultats sub-optimaux. Pour apporter une réponse à ses interrogations, des études sont actuellement en cours Schwob et al., 2010. RemerciementsLes auteurs remercient le personnel des stations publiques de contrôles de performances d’Argentré, Le Rheu et Mauron pour la récolte des données. BIBLIOGRAPHIE AALHUS, JONES, 5DM., ROBERTSON, TONG, SATHER, 1991. Growth characteristics and carcass composition of pigs with known genotypes for stress susceptibility over a weight range of 70 to 120 kg. Anim. Prod., 52, 347-353. EIKELENBOOM G., MINKEMA D., 1974. Prediction of pale soft exsudative muscle with a non-lethal test for the halothane-induced porcine malignant hyperthermia syndrome. Tijdschr. Diergeneeskunde, 99, E., MANTECA X., FONT J., GISPERT M., CARRIÔN D., VELARDE A., RUIZ-DE-LA-TORRE DIESTRE A., 2004. A comparison of halothane homozygous negative and positive pie- train sire lines in relation to carcass and meat quality, and welfare traits. Meat Science 66, J., OTSU, K., ZORZATO, R, DE LEON, S., KHANNA, WEILER, O’BRIEN, RJ., MACLENNAN 1991. Identification of a Mutation in Porcine Ryanodine Receptor Associated with Malignant Hyperthermia. Science, 253, 448-451. GILMOUR GOGLE, CULLIS, THOMPSON, R., 2006. “ASReml User Guide Release VSN International Ltd, Hemel Hempstead, HP1 lES, R., PABOEUF, F., SELLIER, R, BOUFFAUD, M., BOULARD, J., BRAULT, D., LE TIRAN, PETIT, G, 1995. Effet du génotype halothane sur les performances d’engraissement, de carcasse et de qualité de viande du porcs charcutier. Journées Rech. Porcine en France, 27, R., DASNOIS, C., SCALAIS, S., MICHAUX, C., GROBET L., 1995. Génotype au locus de sensibilité à l’halothane et caractères de croissance et carcasse dans une F2 Piétrain x Large White. Genet. Sel. Evol., 27, C., LE ROY, R, GUÉBLEZ, R., TALMANT, A., GOGUÉ, J., SELLIER, R, 1997. Effect of halothane genotype NN, Nn, nn on growth, carcass and meat quality traits of pigs slaughtered at 95 kg or 125 kg live weight. J. Anim. Breed. Genet., 114, 309-320. MÉROUR I., HERMESCH S., SCHWOB S., TRIBOUT T., 2009. Effect of the Halothane genotype on growth performances, carcase and meat quality traits in the Pietrain breed of the French national pig breeding program. Proc. Assoc. Advmt. Anim. Breed. Genet. 18, A., DAUMAS G., 1998. Estimation par découpe de la teneur en viande maigre des carcasses de porc. Journées Rech. Porcine en France, 30, S., TRIBOUT t, BAZIN C., DELAUNAY I., BIDANEL J., LARZUL C., 2010. Prise en compte du génotype halothane dans l’évaluation génétique de la population Piétrain.. Journées Rech. Porcine en France, 42, sous presse. Haut de page Télécharger l'article complet
Ceclassement aurait pu s'appeler autrement "classement des versions du joker selon la vision des scénaristes et de la proximité des comics". Heath leger a marqué les esprits, même si sa
Bienvenue sur votre diagnostic En 2 minutes, découvrez la routine de soin âme sœur de votre peau. je réalise mon diagnostic J'ai entre - L'importance de l'âge Il est essentiel d'adapter sa routine de soins en fonction des besoins de notre peau qui évoluent au fil du temps. Avec les années, la peau se marque et voit apparaître les signes de l'âge les ridules se transforment en rides, la peau s'affine, perd de sa souplesse. Elle devient plus sèche et perd son éclat. Choisir des produits spécifiques correspondant à son âge mais également à son type de peau et son environnement permettra à celle-ci d'être belle et en bonne santé. Poursuivre MON PROFIL Vous vous appelez Aurélie, vous avez entre 31 et 45 ans... MON PROFIL Vous vous appelez Aurélie, vous avez entre 31 et 45 ans, vous avez une peau vous avez une peau normale à mixte... VOUs avez une peau - Lorem ipsum dolor sit amet, consetetur sadipscing elitr, sed diam nonumy eirmod tempor invidunt ut labore et dolore magna aliquyam erat, sed diam voluptua. At vero eos et accusam et justo duo dolores et ea rebum. Stet clita kasd gubergren, no sea takimata . Poursuivre Ma préoccupation principale MON PROFIL Vous vous appelez Aurélie, vous avez entre 31 et 45 ans, vous avez une peau normale à mixte, votre préoccupation principale est .
Théoriede l’attachement. 1 L a thèse, maintenant classique, développée par John Bowlby en 1958, lors de sa première formulation de la théorie de l’attachement, est que l’attachement du bébé à sa figure d’attachement a pour base un équipement comportemental constitué par un nombre déterminé de « réponses instinctives
La Somesthésie 08/11Some = soma = le corps & sthesie = sensibilité.Essayer de comprendre ct le corps comprend la sensibilité.Sensibilité = capacité d’un organisme à être informé des paramètres physico-chimiques du milieu extérieurou intérieur. Par ex capacité différencier le jour et la nuit, différencier qu’en été il fait chaud & en hiver il faitfroid = percevoir les variations. Il y a 2 types de sensibilité cs & ics.Sensorialité= c’est uniquement la composante cs de la sensibilité. Stimulus = phénomène de l’envi intérieur ou extérieur de nature physique ou chimique, capable d’être captépar un récepteur spécifique.Sensation la cs des variations des paramètres physico-chimiques. Diff types ouïe, toucher, odorat, la vue,le gout, l’équilibre, etc.Perception = résultat de l’interprétation cs des stimuli. Somesthésie = sensibilité somatique, diff sensations tactiles ou thermiques, douloureuses &kinesthésiques.Le système somesthésique est constitué - De récepteurs sensitifs ou somesthésiques.- De nerfs De la moelle épinière corne dorsale.- Des faisceaux ascendants.- De Du Du Les récepteurs somesthésiques 1 Généralités sur la peau La peau est composée de plusieurs couches de tissus épiderme, derme, hypoderme. Chez les êtreshumains, elle est l’un des organes les plus importants du corps au regard de sa surface et de sa masse chezl’adulte, environ 2 m2 pour 5kg. La peau est le principal organe de la Les diff types de récepteurs de la somesthésie Les récepteurs extéroceptifs récepteurs cutanés, récepteurs de la sensibilité tactile.Les récepteurs proprioceptifs récepteurs ds les muscles & les os, permettent de positionner mes membresds l’espace.Les récepteurs intéroceptifs sensibilité à mes organes Les caractéristiques des récepteurs Un récepteur sensoriel est une cell spécialisée ds la détection de variations physico-chimiques du milieuextérieur. Selon la nature du stimulus auquel elles sont sensibles, on distingue - Les mécanorécepteurs pression mécanique.- Les chimiorécepteurs substance chimique.- Les éléctrorécepteurs courant électrique.- Les magnétorécepteurs champs magnétiques.- Les thermorécepteurs chaleur.- Les photorécepteurs lumière.
Eten masque, on espace les rituels pour respecter la sensibilité de la peau. La bonne fréquence selon Dr Roos, un Dermatologue: une à deux fois par semaine pour les peaux grasses, tous les 10 jours pour les peaux sèches et/ou sensibles. Et il est recommandé de procéder à un rinçage doux. On évite l’eau calcaire du robinet et on opte pour un rinçage Ã
Matière""Dermato"Cours"n°1"du"23/10"Professeur""QUINCHON"Binôme""Gal"–"Brochier"Resp""CocoKafette"HISTOLOGIECUTANEE"I. GénéralitésLe"revêtement"cutané"se"constitue"de"trois"structures"de"la"superficie"à "la"profondeur"""- L’épiderme""sert"d’armure,"de"carapace"face"à "l’environnement."- Le"derme""avec"les"structures"vasculaires"qui"vont"donner"de"l’énergie"aux"cellules"de"l’épiderme"qui"lui"n’est"pas"vascularisé,"mais"aussi"les"annexes""les"poils"annexes"pilo-sébacés"et"les"glandes"sudoripares"de"2"types""eccrines"et"apocrines."- L’hypoderme," en" profondeur," qui" est" essentiellement" du" tissu"adipeux" qui" sert" à " stocker" de"l’énergie,"richement"innervé.""En"moyenne,"la"peau"représente"1,7"m²,"et"pèse"3"a"4kg"organe"le"plus"lourd"de"l’organisme.""Fonctionsspécifiques""- La"peau"est"très"résistante"grâce"à "de"nombreuses"structures"moléculaires,"elle"protège"contre"les" agressions" traumatiques" externes,"les"agents" infectieux"et" physiques" comme"les" UV" " les"mélanocytes"sécrètent"la"mélanine"qui"capte" les" UV"et" limite" les" réarrangements" de" l’ADN" à "l’origine"de"cancers.""- Sécrète"des"lipides"protecteurs"- Thermorégulation"- Sensation"tactile"au" niveau" des" doigts" plus"de" récepteurs"qu’ailleurs"qui"permet" d’avoir" une"sensibilité" extrêmement" fine" " toucher," chaleur," sensation" de" pression," douleur" avec" les"différents"systèmes"nerveux"au"niveau"du"derme."
Danschaque numéro : Des reportages sur les animaux, la nature, l'environnement, la technologie, les pays lointains Une expérience facile et amusante.
Le laser de dépilation cible la mélanine du poil pour le détruire… afin d’éviter de bruler la peau qui contient aussi de la mélanine, une classication selon le phototype est utilisée. Le phototype correspond au classement de la peau selon sa réaction à l’exposition solaire. Afin d’adapter les réglages de la machine laser à votre type de peau, il est habituel d’utiliser la classification de Fitzpatrick. Les lasers alexandrite sont contre indiqués pour les phototypes 5 et 6, il faut utiliser les lasers diode ou mieux, un laser Nd-Yag. Les contre-indications les plus fréquentes sont la présence d’un tatouage, le bronzage et l’utilisation de substance photosensibilisantes. Les types de peaux Phototype 1 Regroupe ceux qui brûlent, mais ne bronzent pas albinos, roux et blonds pâles avec yeux clairs ou foncés. Phototype 2 Regroupe ceux qui brûlent toujours et bronzent avec difficulté blonds aux yeux clairs, parfois individus avec cheveux et yeux foncés, mais peau laiteuse. Phototype 3 Regroupe ceux qui brûlent, mais qui finissent par bien bronzer châtains ou bruns avec yeux foncés, plus rarement blonds aux yeux bleus. Phototype 4 Correspond à ceux qui bronzent sans jamais brûler cheveux et yeux bruns avec la peau mate. Phototype 5 Regroupe les Asiatiques mats, les Méditerranéens et les métis. Phototype 6 Regroupe les Noirs d’Afrique et d’Amérique, les Aborigènes australiens et les Indiens du sud de l’Inde Les contre-indications – absence de mélanine dans le poil les poils blancs ou blonds, ainsi que les poils roux, qui contiennent une mélanine différente ; – les troubles de la cicatrisation le risque de brûlure existe, même si le médecin prend toutes les précautions nécessaires… une cicatrisation anormale, en cas de brûlure, laissera donc une trace plus importante ; – diabète non équilibré risques de retard de cicatrisation et d’infection en cas de brûlure… il vaut mieux retarder le traitement laser ; – troubles de l’immunité et médicaments immuno-suppresseurs à cause des risques majorés d’infection en cas de brûlure ; – infections cutanées en cours sur les zones à traiter… même raison ; – prise de substances ou médicaments photosensibilisants qui augmentent la sensibilité de la peau à la lumière produits de bronzage, carotène, compléments alimentaires, autobronzants, certains antibiotiques et risquent de provoquer des brûlures même avec un réglage du laser adapté au phototype du patient ; – certaines formes d’épilepsie déclenchée par les flash lumineux ; – la présence d’un tatouage sur la zone à dépiler, qui peut provoquer des brûlures et une détérioration du dessin ; – un antécédent de mélanome ; – certaines maladies de peau pouvant être aggravées par la lumière les porphyries, la pellagre et les troubles du métabolisme du tryptophane, les lucites, l’urticaire solaire, la dermatite actinique chronique, les photodermatoses printanières, le prurigo actinique, la phénylcétonurie, le xeroderma pigmentosum, quelques maladies génétiques rares, le lupus, les pemphigus et les pemphigoïdes, lérythème polymorphe, lherpès, certaines dermatoses virales, le psoriasis, le pityriasis rubra, la dermatite atopique. – les grains de beauté ne sont pas une contre-indication, ils seront masqués par le médecin pour les plus gros au moyen d’un crayon blanc. Enfin, comme souvent en médecine et toujours en médecine esthétique, par principe de précaution, la femme enceinte et allaitante se verra proposer d’attendre la fin de sa grossesse/allaitement pour traiter ses zones pileuses.
. 54 67 594 160 504 143 335 415
classement selon la sensibilité de la peau