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Henri-Charles de La Roche Saint-André Henri-Charlesde La Roche Saint-André Naissance 11 mars 1765Montaigu Décès 20 juin 1836 Château de Chambrette Les Landes-Genusson Origine Royaume de France Allégeance Royaume de France Royaume de France Armée des princes Royaume de France Arme Marine royale française Grade Lieutenant de vaisseauMaréchal-de-camp Années de service 1777 – 1816 Conflits Guerre d'indépendance des États-UnisGuerres de la Révolution française Distinctions Chevalier de Saint-Louis Autres fonctions Député de la Vendée 1822-1827 Famille Famille de La Roche-Saint-André Henri-Charles, comte de La Roche Saint-André Montaigu, 11 mars 1765 – Château de Chambrette Les Landes-Genusson, 20 juin 1836, est un militaire et homme politique français des XVIIIe et XIXe siècles. Il ne doit pas, comme l'on fait plusieurs auteurs, être confondu avec son demi-frère puiné Charles-Henri de La Roche Saint-André 1774-1849, qui rejoignit lui aussi l'armée des Princes et appartenait au régiment d'Hector. Charles-Henri faisait partie de l'état-major de Charette. Biographie Arrière petit-fils de Gilles de La Roche-Saint-André, gendre[1] d'Auguste du Chaffault, fils du célèbre amiral Louis Charles du Chaffault de Besné, Henri-Charles de La Roche Saint-André entra dans la marine à douze ans, devint garde-marine, enseigne, lieutenant de vaisseau, et fit en cette qualité la guerre d'indépendance des États-Unis[2] de 1781 à 1784. Il émigra à la Révolution française, prit du service à l'armée des princes et fut versé comme lieutenant au régiment d'Hector, escadron de la marine. Blessé à Quiberon, il parvint cependant à regagner à la nage l'escadre anglaise alors qu'un de ses frères y mourut. À peine convalescent, il quitta l'Angleterre et revint en France avec l'expédition du marquis de Sérent, qui débarqua dans la baie de Cancale à la mi-mars 1796. Il poursuivit le combat pour la liberté d'exercer son culte et pour le rétablissement du Roi dans le Maine sous les ordres du comte de Rochecotte. Plus tard, en octobre 1799, il fut lieutenant du général vendéen Pierre Constant de Suzannet, commandant en chef de l’armée catholique et royale du Bas-Poitou et du Pays de Retz, lors de la vaine tentative de s'emparer de la ville de Montaigu. Il fut blessé à cette occasion[3]. Il participa ensuite aux pourparlers avec Hédouville en vue de la pacification, puis à sa mise en œuvre en 1800 et 1801. Aussi, à la Restauration, se hata-t-il » de demander un commandement actif. Mais il ne reçut que sa mise à la retraite avec le grade de capitaine de vaisseau 31 décembre 1814[2]. Pendant les Cent Jours, Louis XVIII, qui prévoyait que son retour ne se ferait qu'avec le soutien[4] des populations de l'Ouest, ordonna au duc de Bourbon de s'appuyer sur Henry-Charles. Élu le 13 novembre 1822 député du 1er arrondissement électoral de la Vendée Bourbon-Vendée par 173 voix 244 votants, 308 inscrits et réélu le 25 février 1824 par 186 voix 248 votants, 312 inscrits, fidèle à ses engagements lors des guerres de Vendée et au mandat reçu de ses électeurs, il soutint et défendit les prérogatives de la royauté de droit divin. En 1825, il fit partie de la commission chargée d'attribuer sur la cassette du roi des aides aux paysans les plus méritants et les plus nécessiteux qui avaient participé aux guerres de Vendée[5]. À la révolution de Juillet 1830, il cessa ses fonctions de député et se retira dans ses terres de Chambrette. Armoiries De gueules à trois roquets d'or.[6] Notes et références ↑ Constance du Chaffault, avait obtenu la grâce de soldats républicains faits prisonniers lors de la prise de Montaigu en 1793. Elle participa ensuite à la Virée de Galerne avant d'être découverte à Nantes, condamnée à mort elle fut sauvée in extremis par un des soldats qu'elle avait fait relâcher à Montaigu. Georges Laronze, Montaigu, Ville d’histoire IVe – XXe siècle, 1958, p. 76 ↑ a et b Robert & Cougny 1891, p. 599. ↑ Georges Laronze, Montaigu, Ville d’histoire IVe – XXe siècle, 1958, p. 84-85 ↑ Édouard Romberg et Albert Malet, Louis XVIII et les Cent-jours à Gand recueil de documents inédits, Paris, A. Picard et fils, 1898-1902 ↑ Émile Gabory, Les Bourbons et la Vendée, Paris, Perrin, 1923 ↑ Courcelles 1821, p. 120. Annexes Articles connexes Liste des députés de la Vendée Bibliographie Charles-Louis Chassin, La préparation de la guerre de Vendée, 1789-1793, vol. 3, 1892 Jacques et François de La Roche Saint-André, Les La Roche Saint-André pendant la Révolution française, 1990 La Roche-Saint-André Charles-Henri », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, t. IV, Edgar Bourloton, 1891, 640 p. [détail de l’édition] lire en ligne, p. 559 [texte sur Sycomore] ; Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles, Dictionnaire universel de la noblesse de France, t. IV, Au Bureau général de la noblesse de France, 1821, 475 p. lire en ligne, p. 119-120 ; Catégories Officier royaliste de la guerre de VendéeNaissance en mars 1765Naissance dans la province du PoitouMilitaire français du XVIIIe siècleOfficier de la Marine royale FranceMilitaire français de la guerre d'indépendance des États-UnisÉmigré sous la Révolution françaiseArmée des émigrésGénéral français de la RestaurationDéputé de la VendéeDéputé de la RestaurationDécès en juin 1836Chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-LouisDécès à 71 ansDernière mise à jour du contenu le 15/01/2022.
Gagnarede Jussieu, Histoire de l'Église d'Autun, 1774, 645 p.. Claude Courtépée, Description générale et particulière du duché de Bourgogne, t. 3 : Le Bailliage de Beaune, Nuys et le Nuyton, Auxonne et l'Auxonnois, Saint-Jean-de-Lône et le Lonois, les marquisats de Chaussin, de la Perriere, partie de celui de Seurre ; et l'Histoire d'Autun avec l'Autunois,
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Commune: Saint-André. Rattachement EPCI : CA Intercommunale de la Réunion Est (CIREST) Rattachement Contrat de ville : Saint-André. ZFU - Territoire entrepreneurs : La Cressonnière, Quartier Rive droite. Quartiers Prioritaires (4) : Cambuston Centre, Centre Ville, Cressonnière - Manguiers, Petit Bazar - Chemin Du Centre - Fayard.
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